Studio photographique : prises de vue produits d'épiceries à Madagascar, I Brandi et Savour.
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Apéritif Tsaravyn, vodka Valistoff et spiritueux Sister Queen |
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Vinaigres, sucre de canne, huile de soja, carry |
Photographie de produits ou packshot.
Qui dit visuel, dit photos, ou presque. Le dessin, ou même l'annonce typographique seule, font bien quelques prestations remarquées, mais dans la grande majorité, la photographie est au cœur du message publicitaire. La règle : un visuel, un message. L'image interprète, l'accroche, appuie ou démontre. Le storytelling, la belle histoire, est souvent déterminée par la photo.
Dans ce cadre, la photo de produits à toute son importance puisqu'elle met en scène ce que l'on veut vendre. Le produit doit être "en costume du dimanche" : toucher à une perfection plus vraie que nature. Il doit rassurer, générer de la confiance et de l'envie, convaincre… Bref, donner envie d'acheter. La cible doit se sentir concernée. Le produit est l'objet même de la publicité. C'est lui que l'on vend, pas le visuel de l'agence.
Alors, bien sûr, un soin tout particulier doit être porté au produit, à son packaging, mais, concernant les outils de communication, la photo des produits se doit d'être particulièrement travaillé. Une négligence à ce stade peut avoir des conséquences lourdes.
Il faut le rappeler : une photo est une photo. Elle rend compte de la réalité. Si l'étiquette est déchirée ou de travers, l'appareil ne prendra que ce qu'il voit. Les boîtiers photographiques modernes, ainsi que les objectifs professionnels, n'ont aucune pitié. Ils voient même des choses parfois peu visible à l'œil. Une trame d'impression trop grossière par exemple.
Les logiciels de traitement d'image ne feront pas de miracle. On ne peut pas inventer un bout d'étiquette manquante, par exemple.
Les produits doivent être propres et correctement emballés pour ne pas subir de dégradation durant le transport ou lors des manipulations.
Les photographes ou assistants sont généralement équipés de gants pour éviter les traces d'empreintes de doigts.
Un bon boîtier haut de gamme, des objectifs minimum f2,8, de vrais flashs de studio sont le bienvenu pour un pack de base. Pour la photo de luxe, il faut monter en gamme, mais pour les usages courants, cette configuration assure une bonne qualité d'image. Une boite à lumière est d'une aide précieuse.
Pour ma part, j'utilise un couple productif : DXO PhotoLab et Adobe Photoshop. L'un me permet de dé-rawtiser avec un traitement efficace et poussé en série (traitement par lots après enregistrement des paramètres de correction) ; le second affine le travail au cas par cas et permet le détourage (isoler le produit du fond pour pouvoir le placer dans n'importe quelle mise en page).
Détourage "à la plume" ! Pas de coup de "baguette magique". À l'ancienne, pour un détourage précis, sans pixel sur le contour, avec possibilité de masque, voir pour récupérer le tracé pour une utilisation graphique.


Dans ce cadre, la photo de produits à toute son importance puisqu'elle met en scène ce que l'on veut vendre. Le produit doit être "en costume du dimanche" : toucher à une perfection plus vraie que nature. Il doit rassurer, générer de la confiance et de l'envie, convaincre… Bref, donner envie d'acheter. La cible doit se sentir concernée. Le produit est l'objet même de la publicité. C'est lui que l'on vend, pas le visuel de l'agence.
Alors, bien sûr, un soin tout particulier doit être porté au produit, à son packaging, mais, concernant les outils de communication, la photo des produits se doit d'être particulièrement travaillé. Une négligence à ce stade peut avoir des conséquences lourdes.
Les points fondamentaux.
Fournir un produit parfait.
Le premier point est le plus important est pourtant souvent négliger par les annonceurs eux-mêmes : fournir des produits à photographier les plus proches possibles de la perfection : des packagings le plus parfaitement imprimé possibles, le plus parfaitement mise en place, sans tâche ni déchirure même minime, etc.Il faut le rappeler : une photo est une photo. Elle rend compte de la réalité. Si l'étiquette est déchirée ou de travers, l'appareil ne prendra que ce qu'il voit. Les boîtiers photographiques modernes, ainsi que les objectifs professionnels, n'ont aucune pitié. Ils voient même des choses parfois peu visible à l'œil. Une trame d'impression trop grossière par exemple.
Les logiciels de traitement d'image ne feront pas de miracle. On ne peut pas inventer un bout d'étiquette manquante, par exemple.
Les produits doivent être propres et correctement emballés pour ne pas subir de dégradation durant le transport ou lors des manipulations.
Les photographes ou assistants sont généralement équipés de gants pour éviter les traces d'empreintes de doigts.
Une prise vue professionnelle.
Oublier les photos avec smartphones ou "le copain photographe" qui s'est acheté un petit appareil réflex. Il faut faire confiance à un professionnel réellement équipé pour cela.Un bon boîtier haut de gamme, des objectifs minimum f2,8, de vrais flashs de studio sont le bienvenu pour un pack de base. Pour la photo de luxe, il faut monter en gamme, mais pour les usages courants, cette configuration assure une bonne qualité d'image. Une boite à lumière est d'une aide précieuse.
Traitement image numérique.
Attention, on rentre ici dans le règne de la magie à qui l'on prête à tort toutes les vertus. On peut faire beaucoup de choses avec les logiciels modernes, mais toujours pas des miracles. Le fameux "filtre Photoshop" qui sert le café n'est toujours pas inventé.Pour ma part, j'utilise un couple productif : DXO PhotoLab et Adobe Photoshop. L'un me permet de dé-rawtiser avec un traitement efficace et poussé en série (traitement par lots après enregistrement des paramètres de correction) ; le second affine le travail au cas par cas et permet le détourage (isoler le produit du fond pour pouvoir le placer dans n'importe quelle mise en page).
Détourage "à la plume" ! Pas de coup de "baguette magique". À l'ancienne, pour un détourage précis, sans pixel sur le contour, avec possibilité de masque, voir pour récupérer le tracé pour une utilisation graphique.
- annonceur : Mellis Distribution
- marque : IBrandi, Sama.
- Boitier : Canon 5 D Mark III
- Objectif : 24-70 F 2,8 Canon
- Flash : 3 Mutiblitz Profilux 800 W
- Boite à lumière
- Utilisation : création d'un catalogue, et tous usages à venir.
Photos produits seuls.


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